PHOTOS SAINT HIPPOLYTE

Notre Dame du Mont

Notre dame du mont

Le culte de notre Dame du Mont est lié à la légende de François de la Palud  

(xve). Ce dernier,prisonnier en terre infidèle a été miraculeusement libéré

après avoir invoqué Notre Dame . En signe de reconnaissance ,

il a offert une Statue de la Vierge à Saint Hippolyte.

 

Au XVIe siècle ,une chapelle est construite pour abriter cette Vierge et

au XVIIIe , on y ajoute une nef et 2 collatéraux                                            

Le culte de notre Dame du Mont est lié à la légende de François de la Palud  

(xve). Ce dernier,prisonnier en terre infidèle a été miraculeusement libéré

après avoir invoqué Notre Dame . En signe de reconnaissance ,

il a offert une Statue de la Vierge à Saint Hippolyte.

 

Au XVIe siècle ,une chapelle est construite pour abriter cette Vierge et

au XVIIIe , on y ajoute une nef et 2 collatéraux                                            

Statue du Saint Hippolyte

SAINT-HIPPOLYTE .prêtre,il vit à rome au début du III siécle ,pour des raisondoctrinales, ils'éloigne

des évèques romains et apparaît comme l'antipape, dès 217. Toutefois , en 235 l'empereur Maximin

le fit arrêter et l'envoie travailler dans les mines de Sardaigne, ou il meurt.Triste destin.

 

Mais ce bon vieux saint hippolyte n'est pas tombé aux oubliettes pour autant.Coup de théâtre ,

le mardi 13 août 2002 pour sa fête patronale,il était en effet à l'honneur .Pas vraiment un hasard pour le calendrier.La statue du patron de la ville a en effet été dévoilée de la rue du midi et de la grande rue .

 

Jour de gloire pour André Durr le propriétaire de la statue .J'ai rénové cette maison de 1629 .

Sur la façade il y avait cette statue complétement défraîchie que j'ai déposée de son socle.

Mais les voisins comme le boucher et les anciens du village m'ont fait comprendre ,

que c'était dommage de l'enlever.

Pour éviter de s'attirer les foudres des défenseurs du patrimoine ,il a décidé de redonner vie à ce symbole du village.Il a confié à une artiste suisse la réalisation d'une nouvelle sculpture.

A partir d'un bloc de calcaire elle a fait vivre ce saint hippolyte elle c'est inspirée de l'ancienne statue elle a puissé dans l'histoire de saint hippolyte dans la légende dorée des vitraux dans le choeur de l'église et une toile accrochée sur la gauche à l'entrée .

EGLISE SAINT HIPPOLYTE

UNE EGLISE AU COEUR DE LA CITE

Fondée par le Comte de la Roche l’église devient très vite collégiale pour les chanoines et église paroissiale pour les habitants. Ces deux fonctions expliquent l’importance du chœur est du transept. Le bâtiment est solide : il a bravé les épreuves du temps, les incendies de la cité, les invasions qui se sont succédé.


Le clocher porche dû quant à lui être reconstruit deux fois. Le mobilier de l’église, détruit totalement pendant la Révolution a été remplacé : chapelles, retables, chaire en chêne sculpté avec les quatre évangélistes et leur symbole, tables de communion, vitraux du chœur et du transept, chemin de croix, vitrail représentant la Saint Trinité et au-dessous, au centre Notre Dame du Mont avec, à sa droite le Comte de le Roche tenant le Suaire du Christ et, à sa gauche, Saint-Hippolyte qui a donné son nom à la ville.



Parmi ce mobilier, une mention spéciale doit être attribuée à l’Aigle en bois doré, lutrin à double pupitre, sculpté au XVIIème siècle. Très important également, le pavement de l’église est formé, en grande partie, de dalles funéraires. Celles des comtes de la Roche, de chanoines du chapitre, de bourgeois ou de gens de métier de la cité.


Mais ce qui fait sans nul doute l’originalité de cette église est qu’elle a accueilli durant trente quatre années le linceul qui enveloppa la dépouille mortelle du Christ : le célèbre Saint-Suaire. Ce drap, aujourd’hui exposé à la chapelle royale de Turin en Italie fut déposé et vénéré ici de 1418 à 1452. Chaque année, pour la fête de Pâques, une procession était organisée sur le champ de foire sur les bords du Doubs pour que les pèlerins puissent venir se recueillir devant la célèbre relique.


A l’endroit en question, une stèle a d’ailleurs été érigée il y a quelques années. Pourtant, aussi vénéré soit-il, le Saint-Suaire n’est pas l’objet de tous les consensus, bien au contraire. Nombre d’expertises et de contre-expertises se sont en effet succédées pour vérifier, confirmer ou infirmer l’époque dont provient ce tissu. Pour les uns, il est authentique et a bien recueilli la dépouille du christ. Pour les autres, c’est une vaste supercherie. Une histoire complexe et passionnante en tout cas.

LES FORGES DE SAINT HIPPOLYTE

SAINT HIPPOLYTE AUTREFOIS

SAINT HIPPOLYTE SOUS LA NEIGE

GROTTE DE LAROCHE

Grotte de la Roche

 

HISTOIRE ET MYSTERES...

Depuis le centre ville, en levant les yeux vers la vallée du Doubs qui mène vers la Suisse, on ne voit qu’elle : la grotte de la roche, là d’où autrefois, les seigneurs locaux veillaient sur la cité. Aujourd’hui, l’itinéraire favori des randonneurs.

Débutée à Villeneuve au lieu-dit le gros chêne, La promenade se poursuit à travers forêts et champs jusqu’à la tuffière, exploitée jusqu’au début du XXème siècle. Le tuf, roche sédimentaire obtenue par ruissellement des eaux était apprécié pour sa légèreté. Excellents isolants phoniques et thermiques, les blocs de tuf étaient utilisés pour la construction des cloisons, des voûtes, des cheminées…Un peu plus loin sur le parcours, une bâtisse se dresse une ferme qui appartenait aux Ursulines, ces religieuses qui s’étaient donné pour mission d’apporter l’enseignement aux jeunes filles, dans le couvent au centre du bourg.

On devine le bruit de l’eau qui sort de la roche et jaillit en cascade au pied d’un pan de mur, dernier vestige de l’ancien moulin, une eau qui va poursuivre sa route en direction du Doubs. Bientôt, on aperçoit l’imposant rocher avec son ouverture immense. Au moyen âge, le château des Comtes de la Roche s’est appuyé sur cette entrée et une niche dans le rocher servait de poste de guet aux soldats qui surveillaient les alentours. De cette époque, il ne reste ici que quelques pierres, le château ayant été détruit après la conquête française, à la fin du XVIIème, sur ordre du roi de France Louis XIV.

Plus de château, plus de moulin, plus de petit bistrot non plus comme par le passé aux abords de la ferme, mais une faune et une flore particulière que les promeneurs se plaisent à venir observer. Parmi les plus observées, il y a bien sûr les chauves souris. Et les cavités où se cachent parfois le gibier n’ont pas encore fini d’être explorées par les amateurs de spéléologie.

Aujourd’hui, cette roche est avant tout un lieu riche de souvenirs, d’anecdotes historiques et aussi d’une légende bien connue, celle du serpent blanc. Un mystérieux reptile qui aurait été vu dans la rivière souterraine de la grotte et que l’on rendait responsable de la maladie du prince. Le garde du château qui crut bon affirmer avoir tué la bestiole alors qu’il n’avait capturé qu’une vulgaire couleuvre décolorée en fut puni. Il mourut en effet étouffé par un mystérieux serpent venimeux venu des entrailles de la grotte.

BIEF

BREMONCOURT

CHAMESOL

COUTEFONTAINE

FLEUREY

Fleurey possédait, avant 1585, une chapelle dont on voit encore la porte dans le mur latéral de l’église actuelle ; il a été desservi par un prêtre résidant depuis 1724. La paroisse de Fleurey vénère les reliques de la vraie Croix et de Saint-Laurent son patron ; elle lui on été données, en 1867, par Madame Marie Blanche de serlry, comtesse de morville. Saint-Laurent provient de l’évêché de Nancy ; la vraie Croix a été détachée par l’évêché d’un superbe reliquaire, donne à la famille de morville par un duc de Lorraine et contenant un morceau insigne de la vraie Croix et un épine de la sainte couronne. Monsieur le comte amédée beneyton a fait don à l’église de Fleurey d’une fiche pratiquaire, dans lequel sont placés les saintes reliques pour être exposé à la vénération des fidèles.

FROIDEVAUX

GLERE

INDEVILLERS

LES PLAINS

LIEBVILLERS

MONTANCI

MONTANDON

MONTECHEROUX

MONTJOIE

MONTURSIN

SOULCE CERNAY

TERRES DE CHAUX

VALOREILLE

VAUFREY

VERNOIS LE FOL